La cité fut entièrement créée sur un emplacement anciennement appelé : "La pièce aux chats" appartenant à M. Carteron. Sur 30 hectares, elle rassemble 200 habitations ; chaque maison est double avec deux pièces au rez-de-chaussée et deux chambres à l'étage. En extérieur, un hangar, un bûcher, un cabinet d'aisance et un jardin de 400 m2. Les voies publics sont éclairées au gaz et de nombreuses bornes-fontaines sont à la disposition des riverains. Contrairement à ce qui se passait dans d'autres cités, les ouvriers n'avaient pas accès à la propriété pour éviter de voir, par ventes successives ou d'héritages, des locataires étrangers à l'usine disposer des lieux.